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Tamarack Timberlands

Récolter les avantages de forêts aménagées à grande échelle

Tamarack Timberlands

Le secteur de la construction peut contribuer à l’amélioration de l’environnement bâti, notamment en utilisant du bois provenant de forêts aménagées de façon durable. Comme les arbres captent le carbone de l’atmosphère et l’emmagasinent par photosynthèse, les forêts aménagées de façon durable agissent comme des puits de carbone. Le carbone reste absorbé dans les produits de bois de construction longtemps après la coupe des arbres.

Par l’intermédiaire de Tamarack Timberlands, le RREO possède 870 000 acres de forêts de pins taeda dans huit États du sud-est des États-Unis. Le portefeuille de Tamarack est géré conformément aux normes de la Sustainable Forestry Initiative® par notre partenaire, Resource Management Service, une société indépendante qui gère les avoirs forestiers pour le compte d’investisseurs institutionnels.

The SFI® est un organisme sans but lucratif nord-américain qui mène ses activités dans l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement afin de favoriser la santé des forêts. En respectant ses normes, RMS veille à ce que les forêts de Tamarack soient exploitées dans une perspective de durabilité à long terme. Cela signifie notamment de replanter rapidement les zones coupées et de favoriser la biodiversité et l’utilisation judicieuse de l’eau, mais aussi de s’efforcer de r.éduire l’utilisation de produits chimiques ainsi que les risques posés par les organismes nuisibles et les feux de forêt

« Le portefeuille de ressources naturelles du RREO comprend des forêts certifiées durables destinées au bois d’œuvre. Mais l’adoption d’une approche responsable et durable axée sur le long terme en matière de foresterie a de la valeur au-delà de la production de bois d’œuvre. Les actifs de Tamarack procurent au RREO d’excellents rendements comptants qui sont stables ainsi qu’une appréciation du capital à long terme, tout en servant de réserve naturelle de carbone pour aider à atténuer les répercussions des changements climatiques. »

Christopher Metrakos, directeur supérieur, Ressources naturelles,
RREO